samedi, avril 10, 2010

Renov’Smile : WebMarketing du blanchiment dentaire

Renov'Smile est un produit innovant créé par des chirurgiens dentistes, qui permet à monsieur tout le monde d'appliquer un soin professionnel de blanchiment dentaire, en restant chez soi, en seulement deux heures, pour retrouver un sourire radieux. Renov'Smile a fait appel aux conseils d'Exercices De Style.



Renov'Smile : Le blanchiment dentaire est un marché concurrentiel



On dénombre plus de 30 concurrents affichés sur le marché du blanchiment dentaire. Pour la plupart bricolés, ils cherchent à vendre un produit plus ou moins bien conçut, sur des logiques d'échelles quantitatives bien plus que qualitatives. Comme souvent en matière de référencement payant, un petit jeu s'instaure pour acheter plus de trafic payant au moindre prix. Le référencement payant est un exercice passionnant, mais qui a ses limites.



Renov'Smile : La e-réputation est l'enjeu majeur


Sur le marché des cosmétiques, la marque et sa réputation jouent un rôle majeur. L'impact de l'AdWords est donc tout relatif par rapport à celui du référencement naturel. Il faut faire confiance à une marque avant de lui confier l'éclat de ses dents. C'est que les dents jaunes préoccupent et font parler les internautes. Avis consommateurs, bloggeurs et bloggeuses spécialisées et autres annuaires : les tiers prescripteurs se multiplient sur la toile, et c'est à eux que la stratégie d'e-réputation de Renov'Smile s'adresse.



Renov'Smile : Un partenariat de compétences inédit


Exercices De Style. intervient en conseil stratégique SEO, SEM, Affiliation, Partenariats et e-Réputation, en partenariat avec l'agence ICWS qui a réalisé et réalisera toutes les évolutions de la présence Web de Renov'Smile.

vendredi, février 19, 2010

Exercices De Style : Conseil en communication

Il fallait bien que cela arrive : je viens de créer une entreprise !

Exercices De Style. conseille les entreprises dans la conception de stratégies de communication.

Tournée vers Internet,
Exercices De Style. travaille à replacer les objectifs stratégiques au cœur de la méthodologie de conception, de création et de mise en œuvre des actions de communication.

Indépendante , par l'amont de toutes accroches à de grands groupes, comme par l'aval de toutes obligations de distributions de technologies, Exercices De Style. aspire à redonner de la liberté de pensée dans les démarches de communication.

Exercices De Style. parce que la communication reste toujours à parfaire


La communication par nature est un exercice qui s'affronte à des contraintes : temps et budget évidemment, mais aussi cible, calendrier, partenaires, sensibilités etc. Comme Raymond Queneau et les Oulipiens, nous sommes amenés à remettre régulièrement notre travail en doute, et refaire l'exercice autant de fois que nécessaire, à chaque fois avec des contraintes nouvelles.
Chaque action de communication est un exercice de style en soi. Comme le fus d'ailleurs ce blog que nous fondions entre amis il y a quelques mois.

Les Exercices De Style. sont des exercices

Dans cette nouvelle aventure, je n'ai ni croyance folle, ni pessimisme : je suis juste heureux d'avancer pas à pas pour réfléchir, penser et amener de la valeur à ceux qui me font confiance.

Informations et contacts :
Exercices De Style. est une SAS enregistrée à Paris
Le premier site Internet est ici www.exercicesdestyle.fr
Vous pouvez me contacter à l'adresse : contact[-at-]exercicesdestyle.fr

mardi, décembre 15, 2009

France Telecom : La vérité de Google

Il y a des jours où l'intelligence automatisée de Google en dit long sur la réputation d'une entreprise.
Faites donc l'expérience sur google.com de taper France Telecom, et vous découvrirez que la première suggestion de Google est "France Telecom suicides". En terme de réputation, y a du boulot !

mardi, novembre 10, 2009

dimanche, août 09, 2009

L'aventure

Ce blog n'est plus ce qu'il était ? Vous avez raison !

Après avoir bloggé en amateur sur ces pages, je suis passé de l'autre côté et travail depuis plusieurs mois pour des vrais entreprises qui ont de vrais envies de blogger et partager avec les internautes.

Voila le pourquoi de la mise en sommeil de ce blog, et de la relative accalmie de mes coups de gueule.

Ma blogging attitude est désormais sollicitée pour améliorer l'e-réputation de celles et ceux qui ont compris que le silence n'était plus une posture de communication viable sur le Web.

C'est une belle aventure, avec de vrais défis à relever. J'espère bien croiser l'un des lecteurs de mon tout premier blog sur cette route.

Bien à vous.

Emmanuel.

lundi, décembre 01, 2008

L'état ne doit pas abandonner l'enseignement supérieur

Réflexion du 28 juin 2007.

Le constat de l'engourdissement de nos universités est désormais partagé par tous. Les diplômés des universités ne parviennent pas à obtenir un salaire en rapport avec leur niveau d’étude, les nouveautés technologiques n’intègrent que tardivement les enseignements, et les diplômés ont du mal à s’intégrer dans l’organisation de l’entreprise. Ce constat morose monopolise les esprits et les volontés, et pourtant.

Un divorce consommé.

Et pourtant si les étudiants qui ont fait la fac se plaignent souvent "de ne rien savoir faire", ceux qui ont fait de grandes écoles, après quelques années de travail, se plaignent "de ne rien savoir vraiment". L’antagonisme entre enseignement du savoir et enseignement de la fonction est amplifié par certains discours caricaturaux que l’on peut parfois entendre dans les deux institutions. A l’université, les professeurs se drapent de leurs savoirs impressionnants pour jeter un regard méprisant sur les épiciers er ouvriers des grandes écoles. Les grandes écoles de commerce et d’ingénieur traitent avec condescendance une institution héritée de temps où le savoir était une valeur, et  regardent avec mépris des professeurs qui ne peuvent pas se payer un appartement dans Paris. Du point de vu des étudiants, nos structures d’enseignement supérieur ont définitivement divorcé.

Le clivage savoir fonction est amplifié par la modernisation de l’économie.

Les diplômés de l’université vivent dans l’entreprise des difficultés qui s’inscrivent dans la mutation globale de l’économie. L'innovation technologique a remis en cause les stratégies d’entreprise et a modifié profondément la vie dans l'entreprise.

Il y a de cela 20 ans, être dépositaire d'un savoir clef de l'entreprise et devenir indispensable signait l’assurance d’un emploi stable. Mais aujourd'hui, aucun savoir n’est indispensable longtemps, et plus aucun savoir n’assure de la stabilité de l’emploi.

L’entreprise attend désormais des hommes du mouvement et de l’innovation. Un employé qui maîtrise un savoir aura sans doute plus de facilité à se différencier et à circuler dans des sphères élevées. Mais le minimum requis est un minimum fonctionnel : il faut que l’employé s’adapte, comprennent vite ce qu’il faut faire et comment, et soit capable de désapprendre et réapprendre rapidement. Le management a donc évolué d'une valorisation du savoir acquis vers la valorisation de l'agilité fonctionnelle.

Les écoles qui consacrent la réussite par le mimétisme fonctionnel - appliquer un raisonnement et une démarche à des situations apparemment distinctes mais structurellement proches – donnent à leurs étudiants une avance déterminante dans la bataille pour l’emploi et pour le salaire. L’université qui persiste à ne donner à l’étudiant que du savoir ne fournit plus les armes efficaces.

Les écoles restent fermées aux étudiants des universités.

D’un côté, les anciens étudiants de grandes écoles ressentent parfois le besoin d’élever leur niveau de connaissance et n’éprouvent aucune difficulté à entrer dans des universités ouvertes à tous. De l’autre côté, lorsqu’un ancien étudiant d’université souhaite intégrer une école pour acquérir plus d’aisance fonctionnelle, les tarifs et les concourent d’entrée lèvent une barrière quasi infranchissable.

L’université a déjà réfléchi à ce problème et, pour permettre à ses étudiants de se rapprocher des enseignements fonctionnels des écoles, a créé des institutions hersatz : IUT, IUP, et les DESS devenus Master 2 ont pour mission d’adapter un étudiant au travail en entreprise. Certains Master 2 obtiennent d’ailleurs une reconnaissance comparable à certaines écoles.

L’état se retire.

Sans réfléchir à cette distance amplifiée chaque jour entre savoir et fonction, notre gouvernement engage des mesurettes budgétaires qui permettent l’évolution aux universités les plus riches, et engluent les moins riches dans le suivisme. Le gouvernement nous adresse un message clair : l’état se dessaisi de la réflexion pédagogique qui est désormais dans les mains de ceux qui ont assez d’argent pour réfléchir.

Au lieu de se retirer d’une réflexion décisive pour l’avenir économique du pays, l’état pourrait inverser la tendance en s’investissant dans une profonde réforme de structure. Une telle réforme demande bien plus de volonté qu’elle ne demande de financement. Les universités sont déjà dotées des ressources essentielles : les enseignants, le savoir et le savoir faire y sont déjà réunis. Il s’agit « simplement » d’imposer une réorganisation de la hiérarchie des disciplines et des enseignements dans l’université. L’état est le mieux placé pour remettre en cause les pouvoirs établis et les esprits de chapelles.

L’état pourrait ainsi refonder les enseignements universitaires sur les deux dimensions fonction et savoir. Les études à l’université mèneraient alors à un diplôme bidimensionnel mesuré par un niveau fonctionnel (+3/+5) et un niveau de savoir (histoire, sociologie, physique).

Une réforme qui a tout faux.

Parce qu’elle laisse la responsabilité de l’avenir de l’enseignement aux plus riches, parce qu'elle sous-entend que le model qui mène aujourd’hui aux plus gros salaires restera le meilleur modèle demain, parce qu'elle suit et qu'elle n'anticipe pas, la réforme de l’enseignement supérieur engagée a tout faux.

jeudi, septembre 04, 2008

Chrome: A little bit more Republican than Democrat ?

I just tried to watch Videos from each US National Convention threw just-released-new-global-event-worldwide-browser
 from Google: Chrome. And....

If i'm able to watch the terrifying Alaska's Segolène Royal claming his PittBull attitude,









I can't get calm down with the springly Obama's speech.

Google is not the hippy that he pretends !